MONTAIGNE "De l'exercitation" II 6 Les Essais 1595 http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numfiche=862&offset=262&numtable=XULC_Montaigne_Essais1595&mode=3&ecran=0 mp4 webm Nul au réveil ne se lève, une fois que l'a atteint la froide pause de la vie.

Lucrèce, III, 929-930.
Il avait encore cet empire sur son âme expirante.

Lucain, VIII, 636.
Car, incertain encore de son retour, l'esprit stupéfait ne peut s'affermir.

Le Tasse La Jérusalem délivrée, XII, LXXIV, 5-6.
comme celui qui tantôt ouvre, tantôt ferme les yeux, à mi-chemin du sommeil et de la veille.

Le Tasse La Jérusalem délivrée, VIII, XXVI, 3-4.



– souvent, terrassé par la force du mal, un homme, comme frappé de la foudre, s'écroule sous nos yeux; il écume, gémit et frémit de tous ses membres, il délire, raidit ses muscles, se tord, halète, et épuise son corps en mouvements désordonnés –

Lucrèce, III, 487-491.

Il vit, sans avoir lui-même conscience de vivre.

Ovide, Tristes, I, III, 12.

j'emporte par ordre ce cheveu consacré à Dis, et te délie de ton corps.

Virgile, Enéide, IV, 702-703.

à demi morts, les doigts tressaillent et ressaisissent le fer.

Virgile, Enéide, X, 396.

on dit que les chars armés de faux tranchent les membres de sorte qu'on en voit palpiter à terre les tronçons tombés, avant même que l'esprit et la force vitale de l'homme, tant le coup est rapide, puissent en ressentir la douleur.

Lucrèce, III, 642 et 644-646.

quand enfin mes sens reprirent vigueur,

Ovide, Tristes, I, III, 14.

Fuir la faute mène au vice.

Horace, Art poétique, 31.

Il est malaisé que la raison... 235 ...lâchât et n'attendrît... 236 ...si court et si précipité... 237 ...bouillons de sang pur;... 238 ...moi si insupportable... 239 ...de ma chute avait déjà couru,... 240 ...c'est mon étude: et n'est pas la leçon d'autrui,... 241 ...des bâtiments non selon soi,... 242