MONTAIGNE "De l'affection des peres aux enfants" II 8 Les Essais 1595 http://www.bvh.univ-tours.fr/Consult/consult.asp?numfiche=862&offset=272&numtable=XULC_Montaigne_Essais1595&mode=3&ecran=0 mp4 webm et il se trompe lourdement, à mon avis du moins, celui qui croit qu'un pouvoir exercé par la force est plus ferme et plus stable que celui qui s'adjoint l'affection.

Térence, Adelphes, 65-67.
nul crime n'est fondé en raison

Tite-Live, XXVIII, XXVIII, 1.
Mais uni alors à une toute jeune épouse, heureux d'avoir désormais des fils, il s'était amolli dans les affections de père et de mari.

Le Tasse, Jérusalem délivrée, X, XXXIX, 6-8.
En homme sensé, dételle à temps ton cheval vieillissant, de peur qu'il ne bronche à la fin, s'essoufflant au milieu des rires.

Horace, Epîtres, I, I, 8-9.



Lui seul ignore tout.

Térence, Adelphes, 548.

au toucher l'ivoire s'amollit et, perdant sa dureté, il fléchit sous les doigts.

Ovide, Métamorphoses, X, 283-284.

Madame, si l'étrangeté... 245 ...vos autres bonnes qualités... 246 "...de nos inclinations." 247 dérober, en peine... 248 Voulons nous... 249 ...par ordonnance naturelle... 250 ...selon la condition de mon age... 251 ...mis en soupçon... 252 ...facilité à nous laisser tromper. 253 ...trouver en public... 254 ...long soin de bons offices... 255 ...que nul ne vit onques... 256 ...s'ils ont quelque chose de bon. 257 ...ayant cette dernière voix... 258